Les  Sœurs Missionnaires de la Société de Marie

Sommaire

  Un appel venu de loin  12° La formation
 2° Celle qui partit la première 13° Organisation en provinces
 3° De Lyon à Uvéa 14° Un cheminement de toute la vie
 4° Les pionnières 15°  La Mission continue...
 5° Sœur Marie de la Croix 16° Actualités et témoignages SMSM
 6° En Nouvelle Calédonie 17° Fête au Mont-Mou 
 7° Dans le Pacifique, puis dans le monde 18° Célébrations autour du 150ième
 8° Missionnaires au loin 19° Bureau des Laïcs Maristes
Charisme missionnaire 20° Journée de fête au Mont-Mou xx xxx 2008
10° Activités aujourd'hui 21° Journée du laïcat Mariste 11 juillet 2009 au Mont Mou
11° Charisme SMSM 22° Jubilés et Bénédiction de la maison de Nazareth 16 mai 2015

 

Un appel venu de loin

En septembre 1843, une lyonnaise, Françoise Perroton, parcourt les " Annales de la Propagation de la Foi " ; elle s’intéresse aux nouvelles qui viennent des missions. Ce jour-là elle découvre une lettre envoyée aux chrétiens de Lyon par deux femmes d’Uvéa-Wallis, Susana et Amelia.

" Nous avons déjà reçu bien des preuves de votre charité, et nous vous faisons encore une demande : c’est de nous envoyer, si vous nous aimez, quelques femmes pieuses (des sœurs) pour instruire les femmes d’Uvéa. "

Françoise reçoit un choc à la lecture de cette lettre, comme si cet appel lui était adressé. Elle a 47 ans et travaille comme institutrice au service d’une famille bourgeoise de Lyon. Au plus profond d’elle-même, elle entend cette voix qui lui murmure :
                          
  " Va, avance au large, n’aie pas peur… "

Celle qui partit la première
Le courage de Françoise est grand. Les difficultés aussi. Seule, elle va convaincre le commandant Marceau de la prendre gratuitement sur son navire en partance pour l’Océanie. A près de 50 ans, voilà Françoise qui s’embarque sur " l’Arche d’Alliance " le 15 novembre 1845. Après 11 mois d’un dur et éprouvant voyage à la voile, le navire atteint Wallis. Mgr Bataillon, refuse d’accueillir la courageuse missionnaire… C’est alors le roi qui la prend sous sa protection et lui fait construire une case au bord de mer où elle va désormais vivre avec trois jeunes Océaniennes, dont Amelia, la fille du roi.

De Lyon à Uvéa
C’est à Lyon qu’a été fondée la Société de Marie. De l’Église de Lyon sont partis les premiers missionnaires maristes. En 1837, ils débarquèrent à Wallis puis à Futuna. Pierre Marie Chanel, premier missionnaire à Futuna, y fut martyrisé le 28 avril 1841. Son sang a été la semence des chrétiens. A Wallis comme à Futuna, des hommes et des femmes demandent le baptême. L’Église d’Uvéa était née.

Les pionnières
Douze ans de solitude ! Il faut tenir. A son âge, il est difficile d’apprendre la langue. En 1854, accablée par la solitude, la maladie, le manque de compréhension aussi, Françoise Perroton songe à rentrer à Lyon. Mais le bateau la laisse à Futuna où elle va poursuivre son œuvre d’éducation. Et en 1858, 4 ans plus tard, arrivent trois sœurs de France. Quelle bonne surprise. Il s’agit de Marie de la Pitié, 38 ans, de Lyon, Marie de la Miséricorde, 27 ans, et Marie de la Sainte Espérance, 26 ans. La première communauté commence. C’est à Kolopelu, au sommet de la butte qui domine la passe de Ono. Françoise Perroton y restera jusqu’à sa mort le 9 août 1873.

Sœur Marie de la Croix

A ce moment, en Nouvelle Calédonie, arrive Sœur Marie de la Croix, vendéenne de 27 ans ; elle se fait vite remarquer par sa force de caractère, la profondeur de sa vie intérieure et son amour des Océaniens. Son influence contribua à faire reconnaître la dignité de la femme dans la société mélanésienne. Malgré une santé fragile, Sœur Marie de la Croix a créé à l’île des Pins puis à Saint-Louis un centre important de formation des jeunes filles et des femmes : l’enseignement de la lecture et de l’écriture était sa spécialité, mais aussi la couture, la cuisine, le jardinage, le ménage…elle voulait des femmes accomplies, ouvertes et épanouies. Sans y penser, Sœur Marie de la Croix préparait les leaders féminins d’aujourd’hui. Elle est la véritable fondatrice de la Congrégation des Petites Filles de Marie.

En Nouvelle-Calédonie
Dans le diocèse, du Nord au Sud, en passant par les îles Loyauté, Bélep et l’île des Pins, les Sœurs Missionnaires ont mis tout leur cœur et toutes leurs forces au service de l’évangélisation du pays. Selon les possibilités des sœurs, tout est occasion de service d’Église et service des frères, jusqu’à ce que la relève locale puisse prendre sa place.

Nos champs d’action dans le diocèse depuis nos origines :
Côte Est : Bondé, Pouébo, Hienghène, Touho, Tyé, Ponerihouen, Houailou, Canala, Nakety, Thio, Touaourou.
Côte Ouest : Koumac, Koné, Nékliai, Bourail, La Foa, Paita, Mont-Mou, Noviciat, La Conception, Marie Reine, Saint-Louis.
Zone de Nouméa :
Rivière Salée, Pierre Lanquette, Vallée du Tir, Clinique Magnin, Les deux Vallées, Vallée du Génie, Quartier latin, Faubourg Blanchot, Foyer Massabielle.
Les îles : Belep, île des Pins, Fayaoué, Saint-Joseph, Mouli, Maré, Lifou.

(les communautés actuelles sont en caractères gras).

Au total, depuis les origines, plus de 39 lieux d’apostolat ont été ouverts dans le diocèse. Depuis quelques années, en dialogue avec les Filles de Marie, de nombreuses maisons ont été confiées à leurs soins. Actuellement, 12 communautés SMSM continuent le service missionnaire, soit par l’apostolat, soit par la prière dans les maisons de nos sœurs aînées.

Dans le Pacifique, puis dans le monde :
D’un hémisphère à l’autre, des vocations se lèvent. Scholastique Tchamoui de Calédonie qui sera reçue dans le Tiers-Ordre de Marie (T.O.M.) le 12 septembre 1875. Sara Fuasea et Silenia Tipaï de Futuna qui seront reçues dans le T.O.M. le 21 novembre 1878. Denyse Rouvière de France, qui deviendra Mère Marie Denyse, fera profession le 15 janvier 1893.

Puis ce sont des vocations de Wallis, Tonga, Samoa, Australie, Amérique, Nouvelle Zélande, Italie, Allemagne, Afrique… C’est un long cheminement, parsemé de joies mais aussi de difficultés. D’abord appelées " Sœurs de charité du Tiers Ordre de Marie ", en 1881 elles deviennent " Sœurs du Tiers Ordre Régulier de Marie " consacrées par les trois vœux, elles sont religieuses des nouvelles congrégations diocésaines.
Puis à la date du 30 décembre 1931 la congrégation des Sœurs Missionnaires de la Société de Marie est reconnue par l’Église ; elle devient congrégation de droit pontifical et s’ouvre à la Mission universelle.

Missionnaires au loin

Missionnaires : tel est le premier appel des Sœurs Missionnaires de la Société de Marie. C’est pour la Mission que les pionnières sont parties. Aujourd’hui, les situations ont changé, le monde a évolué. Mais ce sont les mêmes intuitions qui continuent d’inspirer le travail apostolique de la Congrégation.

La Congrégation reste résolument tournée vers les missions lointaines :
Des Océaniennes travaillent en Afrique, en Amérique latine, en Asie, en Europe…
Des Malgaches et des Rwandaises sont en mission en Océanie…
Chaque sœur est disponible et toujours prête à quitter son pays, sa famille.


Sœur Federica, italienne, en mission à Futuna


Charisme missionnaire
Faire connaître la tendresse de Dieu pour tous,
tel est le but premier des sœurs. Hier comme aujourd’hui, l’amour du Christ est un feu impossible à contenir.
S’immerger dans un peuple, dans une culture, les pionnières se sont adaptées à la réalité océanienne. Elles ont vécu avec les femmes et les jeunes filles avant de les former. C’est par la vie que passe le témoignage. Comme Saint Paul, les sœurs missionnaires veulent se faire " tout à tous " et rester proches des gens dans la simplicité.
Travailler à la promotion de la femme et de la famille. Comme nos pionnières qui eurent une action éducative capitale sur toute la population féminine , notre vocation première demeure encore aujourd’hui auprès des femmes et des jeunes filles. C’est un immense chantier partout où nous allons.


Activités aujourd’hui
C’est ainsi que les sœurs missionnaires s’adaptent aux réalités actuelles, mais toujours avec le souci " d’être liens de communion " entre les peuples, les ethnies et les cultures, en se faisant témoins de l’amour de Dieu pour tous. Chaque sœur, selon ses dons et ses possibilités trouve une activité missionnaire :
= dans la catéchèse et la pastorale paroissiale ; auprès des malades en hôpital ou dispensaire, ou dans la pastorale des malades ;
= dans la préparation au mariage ou l’écoute des couples, et tout ce qui touche la pastorale de la famille ;
= dans l’enseignement ou dans les internats et tout ce qui a rapport à l’éducation des jeunes;
= auprès des exclus : alcooliques, drogués ou détenus à la prison.

Charisme SMSM : Missionnaire Mariste Religieuse

Ce sont les trois mots qui caractérisent les sœurs missionnaires de la Société de Marie.

Être missionnaire par toute notre vie et pour toujours. C’est répondre à l’appel de Jésus : " la moisson est grande, mais les ouvriers sont peu nombreux ".

Être mariste est le second élément fondamental de notre vocation. Vivre selon l’esprit de Marie comme le dit la règle de vie : " Portant son nom, nous ne cessons de regarder Marie
pour apprendre à penser, parler et agir comme Elle,
et vivre pour ainsi dire de sa vie ".

Être religieuse c’est être reliée à Dieu par une consécration spéciale. Cette consécration se vit jour après jour par la pratique des trois vœux de chasteté, d’obéissance et de pauvreté évangéliques. Enracinée dans le baptême, la consécration annonce le Royaume à venir et témoigne de la vie nouvelle avec le Christ ressuscité.

Formation

La formation se fait en plusieurs étapes. Les jeunes filles qui entendent l’appel du Seigneur pour la mission, sont en lien très étroit avec une sœur dans leur pays d’origine.
Si elle persiste dans son projet de vocation, elle passera une année au postulat, au Mont-Mou, afin de faire connaissance avec la congrégation et de connaître les exigences de la vie missionnaire.
Puis elle sera accueillie pour deux ans au noviciat, soit en Nouvelle Zélande soit au Sénégal, avant de s’engager par la profession des trois vœux.
Ce temps des vœux temporaires qui durera entre 6 et 9 ans, lui permettra de faire une expérience dans une autre culture, un autre pays. C’est aussi le temps des études professionnelles.



Profession de Sœur Françoise, wallisienne, 
en mission à Madagascar

Organisation en provinces

Les Sœurs missionnaires sont actuellement présentes dans les 5 continents. Elles sont envoyées à ceux qui ne connaissent pas le Christ, à ceux qui sont en marche vers Lui, ou aux Églises locales qui ont besoin d’une aide missionnaire. 
La congrégation est organisée en 7 provinces :  3 dans le Pacifique : Sud Pacifique, Australie et Océanie;
2 en Amérique : Amérique du Nord et Amérique du Sud; 2 en Europe et Afrique : Eurafrique et Italie-Rwanda

La province d’Océanie comprend la Nouvelle Calédonie, le Vanuatu et Wallis-Futuna.

Un cheminement qui dure toute la vie

Du premier appel de Dieu pour travailler à son champ, jusqu’au grand jour de la Rencontre, nous apprenons à nous donner joyeusement à Dieu pour son Royaume et à nos frères, selon l’esprit de Marie.

Pour avancer un peu plus chaque jour sur la route de la charité, la formation est permanente. Formation humaine et professionnelle pour répondre aux besoins et aux appels nouveaux. Mais formation spirituelle plus encore. Confronter sa vie à l’Évangile, approfondir les exigences de sa vocation, n’est jamais fini.

Même malade ou âgée, une Sœur Missionnaire de la Société de Marie reste toute sa vie missionnaire à part entière.



Et la Mission continue…

 

Aujourd’hui encore des jeunes osent s’engager pour toujours au service de la Mission. Confiants en l’avenir, ils ont entendu l’appel du Pape Jean Paul II à la suite de Jésus :




Profession perpétuelle le 02-01-2001
Sœur Koleti, wallisienne est envoyée en Afrique


Profession perpétuelle le 17-01-2004
Sœur Euphrasie, rwandaise, est envoyée au Vanuatu


Profession perpétuelle le 24-04-2004
Sœur Elsa, du Pérou, est envoyée en Océanie au Vanuatu.

" CONFIANCE , N’AIE PAS PEUR…AVANCE AU LARGE… "

150 ans de l'arrivée des pionnières en Nouvelle Calédonie

Pour fêter cet événement une messe a été célébrée le jour de l'Annonciation, dans l'église de la Conception, 

lieu où ont débarquées S.M. de Bon secours, S.M.de la Paix et S.M.de la Croix

Église de la Conception

Les Prêtres autour du Père Gidrol

S.M.Cécile Couvert, proclame la parole de Dieu

La foule à l'Eucharitie

 3 août, une fête au Mont-Mou a rassemblé les branches maristes, amis, bienfaiteurs, enfants du Mont-Mou, précédée d'une nuit de prière

Jour de fête et de joie ce 03 août 2008.

Les communautés postulat et accueil Mont Mou ont organisé une journée d’action de grâce pour le 150ème anniversaire de l’arrivée de nos trois premières Pionnières . Elles avaient répondu à l’appel les pères Maristes pour les aider dans l’évangélisation du pays. Ce jour était une rencontre de la Famille Mariste: Tiers Ordre, jeunes Maristes, cellules et amis Maristes, Sœurs Petites Filles de Marie, Frère Maristes et Sœurs SMSM ainsi que tous les enfants de la catéchèse de ce lieu. A l’entrée de la propriété le groupe des  Jeunes Mariste,vêtus de leur tee-shirt bleu accueillait tous les invités avec la musique et les chants. Les postulantes avaient préparé des panneaux  pour présenter aux invités nos origines, leur formation, leur travail de catéchèse et les travaux  manuels.

 

Après cette information Sœur M. Cécile de Mijolla, notre historienne, a exposé avec beaucoup de talent, les origines de notre congrégation et le contexte que nos trois Pionnières : S. M. de la Paix, S. M. de Bon Secours et S. M. de la Croix ont dû affronter pour vivre le début de la mission où tout était à faire et à construire. Tous les personnes présentes ont été intéressées et émerveillées de connaître ce début de l’histoire chrétienne.

En fin de matinée nous nous sommes tous rassemblés pour  l’Eucharistie d’action de grâce, célébrée par Mgr Michel Marie CALVET.

A suivi un repas partagé. L’après midi a été bien animée par les jeunes avec des danses  et des chants. Nous avons terminé cette rencontre festive par le « Salve Regina » qui nous unissait à toute la Famille Mariste.  

Accueil par S. Apolina Ikauno, responsable des postulantes.

Josèphat, postulante, présente la journée


Aucune des branches maristes n'est oubliée

Beau résumé de l'histoire mariste en Océanie

Marie Thérèse, postulante, expert en couture, 

parle de son travail.

Malia Soane et Marie Louise, postulantes, 

partagent leur recherche sur la vie de nos pionnières.

Groupe de jeunes Maristes

La foule rassemblée est attentive

Chacun cherche sa place pour écouter la conférence.

S. Marie Cécile de Mijolla

conférencière intarissable sur nos pionnières.

Mgr Michel Calvet célèbre la messe d'action de grâces

Remerciements de la Provinciale, S.M.Maurizia Mitelli

Nos pionnières Soeurs M. de la Paix, de Bon Secours et de la Croix étaient à l'honneur

 

L'appel continue aujourd'hui...

Qui veut me suivre, doit porter sa croix...

Avec l'aide et le soutien de Marie

 

Célébration à Saint-Louis par les Petites Filles de Marie 
des 100 ans de la mort de Sr Marie de la Croix 

le samedi 9 août 2008
(Voir cette célébration sur le site des PFM)

 

Ce même jour à Vao, Ile des Pins
les 150 ans de l'arrivée de Soeur Marie de la Croix étaient célébrés par la population


Le 9 et 10  août la population de l’île des Pins a célébré les 150 ans de l’arrivée en Nouvelle Calédonie de nos trois Pionnières: Sœur M. de Bon Secours, Sœur M. de la Croix et Sœur M. de la Paix. Nous étions unis aux sœurs Petites Filles de Marie qui à St. Louis fêtaient les 100 ans de la mort de leur fondatrice Sœur M. de la Croix.


Dortoir que Sr M.de la Croix a connu
Ces célébrations ont été ouvertes pour la rencontre de l’association des personnes âgées qui, avec joie, ont chanté des vieux chants que les sœurs, de leur temps, leur avaient appris. Dans la soirée nous nous sommes retrouvés pour chanter notre action de grâce 
pour ces premières soeurs qui ont donné l’élan à la mission.


Le lendemain après la Messe tout le monde était invité au cimetière pour prier près de S.M. de la Paix S. M. Saint Charles, S.M. Marguerite et les Sœurs Petites Filles de Marie qui ont y travaillé et qui ont donné leur vie au début de l’évangélisation.


Merci au Père François Grossin venu célébrer la messe 
et rendre grâce avec les chrétiens de l'Ile des Pins


Palabre devant la maison des soeurs que nos pionnières ont connue


Après le repas ce fut  la visite de l’exposition. C’était très intéressant d’entendre les commentaires des personnes âgées sur l’histoire de leur vécu.

Cette célébration était pour les paroissiens l’ouverture de l’année préparatoire aux 150 ans du commencement de l’école 
par S. Marie de la Croix sur l’île des Pins qui seront célébrés sur l’île en 2009.

 

 Journée de fête au Mont-Mou  xx xxx 2008

Prière, Joie, Partage

Cette journée préparée depuis longtemps voulait être un jour de fête, un jour d'action de grâce pour les quatre postulantes qui vont bientôt s'envoler pour continuer leur formation au noviciat au Sénégal.

Nous voulons souhaiter 'Bonne Route' à 
Malia Soane et Marie Louise de Wallis,
Marie Thérèse et Josépha du Vanuatu

 


Difficile de voir la foule, mais elle était là 

Nous te présentons Seigneur, ces paréos symboles de ces familles chrétiennes 
où tu as fait naître, les 4 jeunes que tu appelles à te suivre.

Le cierge représente le Christ ressuscité, la lumière de la foi
qu'elles ont reçue le jour de leur baptême

Les fleurs nous disent la beauté de ta création. 
Tu as pris soin de ces 4 jeunes comme de toute la création 
 et tu as fait naître dans leur coeur le désir de se donner à toi et aux autres.

La fumée parfumée de l'encens qui s'élève lentement est le symbole de la prière qui s'élève jusqu'à toi. La fidélité de nos jeunes en formation ne saurait tenir sans la prière assidue et le contact quotidien avec Celui qui est le TOUT de la vie

Le globe est le symbole de la mission universelle qui attend chacune de ces filles. Puissent-elles persévérer jusqu'au bout dans leur désir de suivre le Christ 
et de le servir par toute leur vie

La pirogue symbole de l'unité entre les peuples. Ceux qui voyagent dans une pirogue naviguent ensemble vers le même but. Nos postulantes nous invitent à avancer avec elles vers le Christ, dans l'unité de nos trois diocèses: Vanuatu, Wallis-Futuna, Nlle calédonie.

Dans nos îles du Pacifique, le collier est le symbole de l'accueil. 
Ces jeunes qui s'engagent dans la vie religieuse sont des dons de Dieu pour l'Église. 
Nous les soutenons de notre joie, notre affection, et de notre prière. 
Nous rendons grâce pour le don joyeux fait par leurs parents

Tous ces symboles que nous avons présentés se fondent dans le pain et le vin 
qui deviendront le Corps et le Sang de Jésus-Christ. 
Seigneur aide ces jeunes, aident nous à transformer nos vies à l'image de la tienne

La messe se poursuit dans une ferveur 

Que les danses commencent. Danses wallisiennes 
et des enfants de la catéchèse.

Danse d'un groupe du Vanuatu

Site en construction

 

Sœurs Missionnaires
BP 3184
98 845 NOUMÉA,   Nouvelle-Calédonie
E-mail : smsm@ddec.nc

(Sommaire)