Secours Catholique
Délégation de Nouvelle-Calédonie
B.P. 1596  -  98845 Nouméa Cedex
Tél. (687) 27 11 19   Fax. 27 76 71   E-mail: seccath@canl.nc 
CCP: "Secours Catholique" 114 17  T  Nouméa

Cyclone Ivy 2004 Vanuatu        Camion du Secours         Équipe 2006        Projet de Site V.d.T         Forum "Parentalité"

40ème Anniversaire du Secours Catholique en Nouvelle-Calédonie

Forum sur la Parentalité au REX le vendredi 3 septembre 2010 de 8h00 à 12h15

 


 

 

 

 

 
   

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Site propre du Secours Catholique : Ensemble du réseau    et    Délégation de Nouvelle-Calédonie
Construction de la Délégation et du Centre d'approvisionnement du Secours Catholique
L'emplacement du projet est situé entre l'église du Bon Pasteur et la chapelle vietnamienne du Christ-Roi 
r
ue Berthelot à la 2ème Vallée du Tir de Nouméa, il est destiné à remplacer à la fois les locaux de la Délégation actuelle
 situés au Faubourg Blanchot et le Centre d'approvisionnement de la cathédrale.


Photographie réelle des lieux avant l'implantation depuis la rue Berthelot. A gauche le Christ-Roi, à droite l'église du Bon Pasteur


Image futuriste, seulement virtuelle pour le moment,  de l'implantation réalisée par l'architecte au moyen de l'ordinateur...

 

La réalisation de ce projet soutenu par le Secours Catholique National de Paris, des partenaires et bienfaiteurs locaux devrait entrer dans une phase active dans le courant de l'année 2007 pour être livrable si possible en 2008.  
Toutes contributions et participations à ce projet sont les bienvenues 
et elles peuvent être adressées au CCP: "Secours Catholique" 114 17  T  Nouméa, 
en précisant
"Projet de la Délégation".

Plan de masse du projet

Plan en élévation


Le "camion" du Secours Catholique était à bout de souffle !!!

La nouvelle équipe du Secours Catholique avait commencé avec cette préoccupation urgente, remplacer d'urgence ce fourgon utilitaire polyvalent si pratique, car il n'en pouvait plus. Il en était arrivé au point où de nouvelles réparations auraient entraîné dans des dépenses sans fin et  inutiles. 

Vous nous avez aidés à le remplacer ! C'est fait. Merci !

Le Secours Catholique  attend vos dons. Le Secours Catholique est l'affaire de tous.


M. Patrick Cardinaud (Vice-président), Mme Pascale Carré (Présidente), M. Dominique Millie (Délégué permanent)
Équipe dirigeante de la Délégation du Secours Catholique de Nouvelle-Calédonie en début 2006


En souvenir d'une opération mémorable : « Ivy 2004 au Vanuatu »

Opération prioritaire en cours pour le premier semestre 2004: Aide aux populations du Vanuatu affectées par le cyclone "Ivy" des 26-27 février 2004. (Trajectoire  http://www.meteo.nc/temps/cyclones/cycl.php  )
Extraits du rapport sur la situation:
 
Ce dernier a traversé l'archipel de Vanuatu du Nord au Sud. Même si certaines parties des îles sont plus affectées que d'autres, il y a eu des dégâts sur toutes les îles. D'où l'énorme demande de nourriture. Cependant, Caritas Vanuatu tient à ce que l'aide doit être apportée seulement dans la mesure où c'est nécessaire. On doit pouvoir apporter des graines de semences de haricots et de maïs. Ces deux plantes comestibles et riches en protéines peuvent être cultivées partout sur l'archipel. Elles peuvent produire en l'espace d'un mois. Elles peuvent faire éviter le danger d'exagérer inutilement l'aide provenant de l'extérieur qui ne doit pas être encouragée outre mesure.
Toutefois, une aide doit être apportée. Cette aide devrait suppléer durant quelques mois seulement. Elle doit être distribuée avec parcimonie sous le contrôle des responsables des Antenne locales avec l'aide l'Administration chargée de coordonner les dons en nature par exemple obtenir des tarifs réduits pour les transports de Port-Vila aux populations.

Après le cyclone, les populations se sont servies des produits vivriers déjà déracinés. Cela durera deux à trois semaines. Cela signifie jusqu'au 20 mars. Puis si une aide pouvait subvenir, le temps nécessaire à ce que la terre produise à nouveau. D'où les quelques mois(de trois à six mois) pour suppléer à la nourriture. 

Il est certain que les familles vivant surtout de leur produits jardiniers, il leur faut une année pour obtenir les légumes de base tels le taro ou l'igname. Cela est compréhensible car la force des rafales était à cent vingt nœuds (environ 200 km à l'heure).
Ceci dit, il faut absolument, de la nourriture (riz, sucre, lait), des savons, des bâches, des médicaments contre la malaria qui, déjà, s'est déclarée à Tanna; des tôles pour refaire certaines toitures de classes emportées. A l'évidence, tout ne sera pas fait du premier coup.

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